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ASSÈCHEMENT

L’assèchement, une prévention naturelle

Le dégât des eaux (inondations, infiltrations, ruptures de canalisations) entraîne des dommages qui peuvent être irréversibles :

  • Si, à court terme : apparition de pollutions bactériologiques ou fongiques, mobiliers, matériels détruits ou corrodés.

  • Si, à moyen terme : point de “non-retour” de certains matériaux (plâtre), sauvetage impossible des doublages, développement de mérule...

 

Pour éviter des remises en état coûteuses, la mise en place rapide d’un assèchement empêche ces conséquences irréversibles.

UNE TECHNIQUE DE PRÉCISION

L’assèchement, selon l’environnement,

se présente sous 2 méthodes :

 
L’assèchement des volumes

Assécher des volumes d’air par contrôle de l’hygrométrie dans les bâtiments permet d’extraire l’eau contenu dans les matériaux. En adjoignant une régulation par thermo-hygrostat, l’évolution de l’assèchement est maîtrisée. Cette technique sauvegarde les revêtements sensibles aux variations brusques de taux d’humidité : boiseries anciennes, parquets, tissus tendus, etc.

L’assèchement des matériaux

Pour assécher des matériaux difficiles d’accès (corps creux, gaines, isolants thermiques, parquets sur lambourdes, cloisons, ...), nos Techniciens utilisent une technique plus ciblée. Ils insufflent de l’air sec dans le matériau à l’aide de surpresseur et créent, au besoin, des accès par carottage pour évacuer l’air humide.

La maîtrise de ces techniques
  • Permet le sauvetage des biens,

  • Prévient les pollutions bactériologiques et fongiques,

  • Neutralise le développement des odeurs nauséabondes,

  • Ralentit, voir stoppe la corrosion des métaux.

Un parc de plus de 1000 machines en France (déshumidificateurs, déshydrateurs...)

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